Mes Fraternelles Midolitas.

De la Fraternité au quotidien.

Chacun d'entre nous ou presque a connu, avec plus ou moins de sévérité, des difficultés d'ordre pécuniaire, avec toutes les conséquences que cela suppose, et parmis lesquelles il faut compter les tracas administratifs.

En ce qui me concerne, aujourd'hui, c'est le Trésor Public qui se montre inflexible, pour une somme assez anodine : 121 €. Il est toujours impressionnant d'avoir à lire les menaces, je cite, "de saisie de votre compte bancaire, de votre salaire ou de vos revenus, ou la saisie-vente de vos meubles". Rien de moins donc, pour une somme certes due, mais plutôt "minime" !

Acculé, et afin de constituer un dossier, je suis donc allé au bureau, pour numériser des documents, plus aisément "postables" par eMail, dans un souci de rapidité.

Et quelle émotion, au terme de ce petit travail administratif, que de trouver sur mon bureau le fruit de la collecte de mes "Midolitas" (le surnom que je donne à mes collègues), qu'elles ont faite pour moi, et m'ôter cette épine du pied.

La Fraternité est une cape décidément majeure, pouvant aller de nos principes républicains majeurs, jusqu'aux gestes de notre vie quotidienne. Je reste profondément et durablement ému.

Aujourd'hui, j'ai habité Rue de la Fraternité, "pour de vrai".